Qui peut venir vous consulter et quels sont vos tarifs ?
Les ados à partir de 14 ans, les adultes, et les couples. En présentiel au cabinet, ou en visio.
Payables en espèces ou par chèque le jour de la séance.
Les mêmes tarifs s'appliquent aux séances en visio, mais le règlement se fait la veille par virement bancaire.
Les packs* : règlement par chèque que nous échelonnerons.
*Conditions au cabinet. Ne s'appliquent pas aux suivis en visio.
NB : chaque RDV pris est considéré comme un engagement du patient et du thérapeute. Tout RDV non honoré, ou non annulé 48H à l’avance sera facturé.
Les séances ne sont pas remboursées par la sécurité sociale, mais peuvent être remboursées en partie par votre mutuelle. A votre demande, je vous délivre une facture après chaque séance.
C’est quoi une psychopraticienne ?
A la différence de la psychologue qui a suivi un parcours universitaire de 5 ans (licence + master), diplôme reconnu par l’état, qui exerce dans un cadre réglementé, et qui a un numéro RPPS, ADELI, la psychopraticienne a suivi une formation certifiante au sein d’une école privée, et il lui a été délivré un certificat en fin de parcours.
Elle pratique hors du cadre réglementé, mais dans un cadre déontologique strict.
Ses compétences sont sensiblement les mêmes que celles de la psychologue, en dehors du fait qu’elle ne peut pas faire passer de tests psychométriques.
La psychopratique est un terme qui regroupe l’ensemble des métiers qui utilisent la psychothérapie ou la médecine alternative.
Psychopraticien est le titre qui a succédé à celui de psychothérapeute en 2010, date à laquelle ce dernier a été réglementé.
Depuis 2010, le psychothérapeute est soit médecin psychiatre (diplômé d’un doctorat), soit titulaire d’un master2 en psychologie ou en psychanalyse.
Le seul acteur du champ “psy” habilité à poser un diagnostic, à délivrer une ordonnance ou un arrêt maladie est le médecin psychiatre.
Pourquoi j’hésite à vous appeler ?
Suivre une psychothérapie peut être vu comme un signe de faiblesse, et constituer un frein dans notre prise de décision.
Pour vous déculpabiliser, j’aime prendre l’exemple des américains, qui s’ils n’ont pas au moins 3 “psy” différents, dont un psychiatre, ne sont pas “dans le coup”.
Chacun d’entre nous rencontre au moins une fois dans sa vie un moment où il a besoin qu’on lui tende la main.
Demander de l’aide et prendre une main tendue est un fabuleux pouvoir, et peut-être votre plus grand pouvoir.
Quel genre de thérapeute êtes-vous ?
Je suis avant tout engagée, investie dans votre suivi !
Je plonge avec vous vers l'inconnu et c’est ensemble que nous allons chercher les réponses.
Si un mot devait me définir, ce serait “décontractée”.
Je n’utilise pas de mots savants, je ris de mes boulettes parce que je ne suis pas infaillible, et c'est ok.
Pourquoi avez-vous choisi de devenir thérapeute ?
C’est avant tout mon parcours de vie qui m’a amené, comme Albert Einstein, “à croire profondément en l’humanité”.
Je ne pouvais pas me résigner à faire partie de cette ère où l'individualisme règne en maître !
Et comme “il n’y a pas de plus grand mystère qu’un autre être humain”, c’est naturellement que j’ai choisi la voix de la psychologie.
C’est un parcours long, que j’ai embrassé en toute humilité et que je continue d’arpenter en poursuivant les formations.
Grâce à cela, j’espère modestement pouvoir accompagner les personnes à mieux utiliser leurs propres possibilités émotionnelles, créatrices, relationnelles, intellectuelles et j'en passe, afin qu’elles puissent les intégrer à une existence plus harmonieuse et satisfaisante.
Et on ne va pas se mentir, c’est aussi parce que si j’y arrive un tant soit peu, je m’en trouve moi aussi enrichie !